Jour 3 - Mardi 16 Mai 2006 : les premiers pépins...
Au départ de Perpignan, je décide de fixer mon bidon d'essence derrière au lieu de sur le côté, pour mieu me sentir en confiance dans les virages...
Perpignan/Tarbes
Au départ de Perpignan, je décide de fixer mon bidon d'essence derrière au lieu de sur le côté, pour mieu me sentir en confiance dans les virages et pour doubler dans les embouteillages...
A la sortie de Perpignan, je traverse quelques village et profite du paysage, les pyrénées qui naissent sous mes yeux. J'effectue mon premier ravitaillement, et achète une bombe anti-creuvaison en me souvenant de la mesaventure de la veille, et là, c'est le drame...
A peine avais-je rejoin le cyclo que le fameux bruit du pneu qui se dégonfle sifflait à mes oreilles (en effet je n'ai pas gonfler la chambre à air avant de la monter et elle a dû se plier à l'intérieur, en tout cas il y avait un joli tout petit trou dedans...)
Et encore une fois, j'étais obliger de sortir les outils...
Je fais quelques kilomètres encore, profitant du panorama, mais encore une fois pas bien longtemps : à la sortie d'un virage, j'entend un frotement, je m'arrête plusieurs fois pour savoir d'où il provient, ce qui me fait perde beaucoup de temps, et ce n'est qu'une fois arriver à Quillan, vers midi, que je me rend compte que le pneu arrière a subit une usure avancé qu'à provoquer le frotement avec le pare-boue qui ne tenait plus ; le morceau du cadre sur lequel repauser le porte-bagage venait de casser à cause de la surcharge !
l'Aude, et les pyrénées naissantes
Me voilà donc en train de rafistoler comme je peux, en tordant le pare-boue pour ne pas qu'il frotte encore, avanlant un bout de pizza de l'autre main et repartir aussitôt (je m'étais fixé pour but d'être à Foix avant midi). Je continue ma route vers le Soleil qui descendait derrière les blés encore vert, une route sinueuse qui montait, descendait.
Foix
Foix, puis enfin Saint Gaudens, où je comptais passer la nuit, mais l'auberge s'avera complète, je décide alors de continuer vers Tarbes, vers le Soleil qui commance à m'aveugler. Je me souviens du mal que me fesait la selle.
Ozon (osons !)
Et à Tarbes, encore l'auberge complète, plus une seule place, alors, après une journée comme celle-là, j'ai pas chercher plus loins, et j'ai passer la nuit à l'hôtel Henri IV (après l'effort, le confort !)
Ma chambre à l'Hotel Henri IV
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